Ayame-Oki

Nom : Soma

Prénom : Ayame-Oki

Âge : 17 ans

Caractéristiques physiques : Ayame-Oki n'est pas très grande, elle est même au contrère asser petite, mais loin d'être minuscule. Elle porte ses cheveux aux épaules et avec un toupette qui lui dessant presque jusqu'au yeux, leur couleur est roux, par contre ceux-ci ne sont de cette couleur qu'à l'ombre, prenant plaisir au soleil, alors que les rayons réflaite dessus, à prendre une ravissante tiente de rose. Pour se qui est de sa couleur de yeux, et bien ils sont bleu cyan mélanger avec des teinte un peu plus foncer de bleu. Pour se qui est de comment Oki s'habille et bien c'est très simple, avant elle s'habillait à la fine pointe de la mode, sauf quand elle était à son colège où il y avait un uniforme, et maintenant on véra bien. Aussi, Ayame est nule en sport et en dance, n'ayant aucune sincronisation de mouvement, ni endurance, ni volonté, ni de visou. Par contre, elle a de très bon réflexe sur tout en esquive, se talent à pas mal été encourager durant les inombrable partit de ballon chasseur qu'elle a joué ou les garçon prenait plaisir à la prendre comme sible. De plus, Oki a un très bon équilibre. Elle n'a pas le vertige et est très bonne en escalade et cela pour la pure et simple raison que c'est la seul activité physique avec la marche qu'elle aime faire et où elle est capable de mettre dedans de son énergie et de sa volonté. Très ogeuilleuse, elle est aussi terriblement colèrique et se contrarie facilement.

Caractéristiques psychologiques : Doté d'une imagination et d'une passion débordante pour le pentantage et rafistolage, Ayame-Oki est de nature très débrouillarde. Pouvant faire presque n'importe quoi avec presque rien. Loin d'être une esclave de la mode, elle la suit quand même de très très très près. S'amusant à se créé ses propres vêtements en se basant sur se qui est à la mode pour l'instant. De plus, Ayame est une jeune fille fonceuse et très déterminer qui aime que cela marche à sa manière. Aussi, Oki a une mémoire très sélective, oubliant en moins de deux tout se qui ne l'intéresse pas, mais retenant pour la vie mot pour mot tout information qui la frappe ou l'intéresse. Par contre, elle a le défaut d'être rencunière, ne pardonnant pas facilement et oubliant encore plus difficilement. De plus, elle a une confiance sans borne en elle-même et est une très bonne menteuse. Il faut aussi savoir que Ayame-Oki est une fille très social, qui aime être avec du monde, adore être le centre de l'attention et n'a pas peur d'aller dans une endroit totalement inconnue où il n'y a que des inconnues et cela même s'il n'y a personne qui parle sa langue autour d'elle. Par contre, elle déteste cordialement être seul et plus elle est dans un grand lieu renfermer, plus elle déteste cela. Ses plus grand cauchemard étant ceux ou elle se retrouve prit seul dans d'immensément grande batice. Il faut savoir aussi que Ayame a toujours eut de la misère avec la conseption de l'appartenance. Empruntant pour toujours sans scupula à droite, comme à gauche. Bien sûr cela avait aussi l'effet positif qu'elle partage et donne sans retenu.

De plus, il faut aussi savoir que Ayame-Oki loin d'être heureuse de se retrouver dans un nouveau monde et cela sans souvenir du passé en prime, a vue se créé en elle un grand vide dont elle ne connait pas l'origine, mais est convaincu que ses la faute de Reita et Mizu. Cela est son plus grand point faible, puisqu'il est assé facile de la manipuler en prenant comme préteste Reita et Mizu. Heureusement ou malheureusement, selon le point de vue. À cause de la présence du troue noir, du vide en elle. Oki va se fabriqué une carapasse qui l'amêne sur tout à ne jamais parler d'elle-même, ou du moins à ne jamais rien révéler d'important sur elle-même.

Histoire : Ayame-Oki est une jeune fille de quesque dix-huit ans qui a bien hâte d'être majeur et bien heureuse de vivre au Québec et non pas au État où il lui faudrait attendre trois ans de plus se si grand évênement. Dans sa tête tout en claire, elle sait déjà parfaitement se qu'elle veut faire dans la vie et comment elle va faire pour y arriver. De plus, ayant de très bonne note à l'école, exception faite de l'éduc, ayant un emploie et des parents richent près à la financer, elle n'a pas vraiment d'obsacle devant elle qui pourrait faire échouer ses plans. Fille de ville jusqu'à la moile, elle déteste la campagne et y est presque jamais allé. Et les quesque fois qu'elle y a mit les pieds se furent les pirent moment de toute sa vie. Lui arrivant malheur sur malheur, accident sur accident. Et en plus cela empestait. Mais le pirent fut que c'est là où elle rencontra sa pire ennemis Félicia-Rosie. Par contre, si elle fuit la campagne, elle aime bien les forêts et sur tous les montagnes où elle peut s'adonné à sa troisième activité préférer, l'escalade. Elle en fait depuis qu'elle est haute comme trois pommes et c'est là qu'elle a rencontré et est devenu amie avec ses deux meilleurs amies : Mizu et Reita.

Bon, maintenant un petit historique de se qui c'est passé de marquand dans le passé de Ayame-Oki. Premièrement, elle est née à minuit et dix dans un hôpital à Montréal, alors que dehors il pleuvait averse depuis un bon six heures. Sa mère était Julia Tremblay, enfant unique, elle était une femme ravissante, blonde, qui avait une passion pour l'Asie en général et plus particulièrement pour le Japon. Grande femme d'affaire, celle-ci voyagait beaucoup à travers la province et le pays, aller de temps en temps à l'étranger. Son père lui se nommait Kiba Soma, il était l'ainé d'un famille de trois enfants et ses deux parents venaient d'Asie dont le père du Japon. Il était un grand fonctionnaire et était toujours occuper et n'ayant pas beaucoup de temps pour sa famille. Ses parents ne seront donc pas beaucoup présent pour Oki durant le début de sa vie, sa mère ayant recommencer son travail trois semaines après sa naissance et son père en ayant même pas prit de vacance du tout. Elle passera plus tôt son temps en compagnie de ses grands-parents Soma. Ayame restera enfant unique jusqu'à l'âge de quatre ans, année où sa mère mit au monde deux faux jumeau. Deux petits garçons adorable qui obligera Julia a prendre un plus long congé que quand elle avait eu sa fille. Elle passera donc six mois à la maison, avant de reprendre le travail, mais cette fois là en s'arrengeant pour avoir moins de conférence et ainsi pouvoir être plus souvant à la maison. Se fut là que Julia qui aimait bien l'escalade, emmena pour la première fois sa fille faire de l'escalade et l'inscrivit même pour qu'elle prenne des cours durant un ans. Un un ans qui sa transformera en six ans de cour, vue l'intéret marquer que la petite Oki prennait à ses cours. Et si elle arrêta ses cours d'escalades, se fut dans le but d'avoir plus de temps pour pratiquer sa première grande passion : le bricolage. Ayame qui depuis la maternelle et même un peu avant s'était mit à bricoller, pententer et rafistoller tout le temps, au quand malheure de ses parents bien souvant qui découvraient chaque semaine une petite surprise que leur avait fait leur fille, comme par exemple une chemise dont le bas était rendu en lembot et le haut de couleur extravagente ou la cafétière noyant plus de couvercle et fonctionnant au moyen de paille. Ses parents après avoir inutilement tenter d'arrêter les élans créateur de leur fille pendant deux ans, avaient décider un beaujour de lui payer des cours, dans l'espoir qu'elle arrête de faire ses oeuvres sur les objets de la maison. Cela fonctionna, mais juste à moitié. Car souvent, il arrivait à Oki de manquer de materriel, alors elle allait en suptilisé un équivalent soi à ses parents, soi à ses frères, soi au meuble de la maison. Et quand elle allait chez un de ses deux oncles ou chez une paire de ses paires de grand-parent, eux aussi y avait droit. Quand, enfin, Ayame-Oki arriva au secondaire. Elle alla à une école privé où le port de l'uniforme était obligatoir, se qui la frustra beaucoup, puisque cela l'empêchait de porter les vêtements inventer de son crue à l'école. Par contre, elle s'en remit vite, car il y avait bien trop d'autre chose à penser dans cette nouvelle école, dont à s'adonner à sa deuxième activité préférer, c'est à dire : l'implication dans les commités, ainsi que la création de nouveau comité. De plus, elle se faisait un plaisir à se présenter pour être présidente de sa classe et à chaque année, elle le devenait. Oki se faisait un réelle plaisir à participé à toute les activités or classes qui était proposé au élève, faisant du bénévolat à tour de bras. Là seul chose qu'elle ne toucha pas et même fuya comme la peste se fut les activités où le sport ou la dance rentrait en ligne de compte comme élément principale.

Bon, maintenant voici les dernières évênement qui normalement aurait était anodin, mais ne le fure pas finalement. Tout commença une soir, après un parter en pyjama entre fille que Oki avait organiser avec ses deu rande et meilleur amie chez Mizu. Après avoir écouter quatre film d'horreur d'affiler, les trois jeunes filles étaient allé se couché morte de peur. Du moins, Mizu et Ayame l'étaient. Reita, elle, n'étant vraiment pas peureuse de nature, avait trouvé aucun des quatre films particulièrement épeurant et le dernier lui avait même déplu, ayant à son goût une histoire bien trop iréaliste et mal batie. C'est pourquoi voyant ses deux amies trembler de peur elle leur avait lancé le défie de si elle voyait un jour comme dans le deuxième film un homme qui vient dans la brume matinal vers elle ne pas s'enfuir et de même au contraire allé à sa rencontre.

-Et sur tout si vous êtes pas seul. Et qui c'est cela sera peut-être juste un pauvre homme qui veux vous demander votre aide. Et au pire, cela sera un esprit comme dans le film qui a un message très important à vous donner sous peine que vous mourriez.

-Tes pas drôle Reita, c'est pas sa faute à la fille si elle est morte à cause qu'elle croyait qu'elle était suivit pas un maniaque alors que c'était au fond juste un esprit venu dans l'espoire de la sauvé, avait répliquer Ayame.

-Ouais, ouais... Pauvre petite, répliqua sans réelle simpati Reita, alors vous relever le défie ou pas???

Alors là, il y eut silmutanément un soupir de Mizu et d'Oki, puis celle-ci échangeairent un regard entre elle.

-Bon, ok. Je remonte le défi, avait finalement répondu Mizu.

-Moi aussi, de toute manière les chances que cela arrive son asser mince merci, rajouta à contre coeur Oki.

-Montrez moi vos mains, réplica alors Reita, méfiante.

Les deux amies s'exécutairent, puis Reita promit elle aussi de le faire se l'occasion se présentait. Cette nuit là, après voir parler de plein d'autre sujet alors que le soleil était sur le point d'apparaitre à l'horison, les trois amies firent toute exactement le même rêve, un rêve bien étrange où une silouhaite s'approche et leur tent la main et toute trois vont essaye de la prendre. Toutes trois l'on prit à cause du défie, mais aussi pour d'autre raison. Reita parce que ses dans sa nature d'aller au devant de ses peurs, de les affrontés et de ne jamais fuire. Mizu c'était à cause qu'elle voulait être sur que la silouhaite n'était pas un esprit enu lui annoncer qu'ele courait un danger de mort. Ayame-Oki car elle était rongé par la curiosité d'en savoir plus sur cette silouhaite et a cause de la couleur des yeux de la silouhaite qui la facinait. Toute eurent droit à une phrase dans une drôle de langue, puis à une autre en français, pour Oki et Reita et en anglais pour Mizu.

Le lendemain matin, par contre, elles oubliairent de se parler mutuellement de leur rêve. Ayant bien d'autre chose à faire et étant bien trop encore marquer par les yeux viollets, se qui les empêchaient d'avoir la briante idée de s'intriguer sur leur rêve et d'avoir envit d'en parler. Faut font, ils étaient un peu saturer, sur tout que les yeux n'arrêtaient pas de leur revenir à la mémoire et qu'ils ressentaient le besoin de les oubliés pendant une moins quelque heure. Et trois semaines devaint passé avant que cette saturation de yeux viollet est l'effet inverse du'premier effet qu'elle avait eut, c'est à dire provoquer une conversation sur le fameur rêve plus tôt que de l'empêcher d'avoir lieu. Cela se produisit quand Mizu fit la remarque qu'Ayame-Oki ses dernier temps m'était toujours du viollet dans ses dessins et dessinait vraiment plus souvant qu'avant des yeux. Alors là partit une longue conversation sur le sujet, long et palpitante conersation où les trois filles parlèrent de tout dans leur rêve sauf du point le plus important, la différence des messages qu'elles avaient reçus. Oui, Reita le releva, mais cela n'alla pas plus loin. Il était bien plus intéressant de comparer le rêve au deuxième film d'horreur qu'il avait écouter cette soirée là, d'évaluer si oui ou non cela contait pour le défis, si oui ou non elle l'avait relevé, ainsi que de sortir des supositions du pourquoi elle avait toute fait le même rêve. Puis la conversation dévia et toute purent enfin arrêter d'être obséder par les yeux violets. Sans pour autemps les oubliés.

Deux autres semaines plus tard, l'or d'un autre pater pyjama entre eux trois, qui lui lieu une fois encore chez Mizu. Il éclata une grosse chicane sur un sujet anodin à la base, mais très pointu et délica aussi, sur tout pour Ayame. Il était question de se qu'elle allait faire une fois qu'elle aurait finit le collège. Bien sûr, Oki, elle, le savait, mais Mizu de son côté en avait pas la moindre idée et le Reita, elle hésitait entre trois grand choix. Là n'était pas le problème bien attendu, Oki ne pouvait pas en vouloir à ses amies de ne pas avoir encore arrêter leur choix, mais elle était par contre très contrarier que Reita est décidé d'aller à un collège éloigner qui ferait qu'elle se vérait moins souvent et que Mizu tout en allant au même collège n'est pas prit la même branche qu'elle. Et comble de malheure, depuis trois jours Ayame-Oki avait une de ses migraines infernals qui vous rende dix fois, si se n'est cent fois plus irritable que d'abitude. Donc, d'aprendre que les plans de ses amies ne cordonnait pas avec ceux qu'elle avait conçu mentalement, la métait or d'elle. Cette nuit là, les trois jeunes filles se couchèrent toutes trois beaucoup plus tôt qu'à l'autre pater, et au lieu d'être morte de peur, l'une d'elle était plus tôt rouge de colère et remplis de rencune les deux autres. Pendant que l'humeur ces dernières n'était guère mieux, elles aussi contrarié. De plus, Oki était rentré chez elle à la marche refusant de resté une seconde de plus dans la même pièce, dans la même maison, que ses deux, momentanément, ex-amies. C'était pas la première fois qu'il éclatait une chicane entre elle. Ayame avait bien trop le dont d'en provoquer, ne suportant pas d'être contre dire et de voir ses plans être rejeter, alors que Reita, elle, aimait trop peu se faire imposé des plans et ne se gênait pas pour contre dire se qui d'après elle valait la peine d'être contre dit. Au fond, ses deux là passait le un dixième de leur temps à se chicaner et si cela n'avait été de Mizu, non seulement elle aurait passé un moins la moitié de leur temps à se chicaner, mais elle aurait en plus tout simplement pas été amie.

Par contre, Ayame-Oki qui était noir de colère ne rentra pas directement chez elle, non, il lui fallait faire un détour. Il n'était pas question qu'elle repasse par le chemin qu'elle avait si souvant emprunté pour se rendre chez son amie. Il fallait pas qu'elle passe par se chemin que trop connu, simbol d'amitié on pourait même dire. Elle préféra faire un très gros détour évitant le plus de rue connu possible. Malheureusement, son plan finit par tournée contre elle, car elle finit par ne plus avoir aucune idée de où elle était. Cette constatention loin de lui changer les idées et de la faire oublier son mécontantement, eut plus tôt l'effet inverse. Elle mit la faute de son mal heureux sur le dos de ses amies et du aller à un dépaneur pour y pendre une carte de la ville et ainsi découvrir, sous l'oeil surprit de la fille qui était là, qu'elle était à vingt longue minutes de marche de chez elle. Il est vrai qu'il n'arriva pas tous les jours qu'une fille en pyjama, portant sur son épaule un sac à dos débarque pour demander son chemin. Oki regarda l'horloge, il était alors dix heures et demi, pas trop tard mais pas vraiment tôt non plus. Ayame reprit donc sa marche, après avoir vérifier si elle avait sa clé et s'être rendu compte que se n'était pas le cas se qui n'était vraiment pas une bonne nouvelle, il fallait prier le ciel que ses parents ne soient pas sortit cette nuit là et que soi ils est laissés la porte débarer, hypothèse peu probable, soi ils ne soient pas encore couché, hypothèse plus probable mais qui insinuait que Oki était mieux de se crouille à rentrer chez elle. Se qu'elle fit. Se mettant à courrir, puis a jogger, pour finir par remarché à bout de souffle et ayant presque pas prit de l'avance à si elle avait tout simplement marché. Puis, elle repartit à courrir, puis à jogger, pour finir par marché. Elle fit cela au minimum dix fois avant d'enfin arriver la gorge en feu devant chez elle. Totalement morte de fatigue. Ses en trainent des pattes qu'elle alla jusqua la porte et essaya de l'ouvrir, celle-ci était barrer. Elle sonna, personne ne vient ouvrir. Elle alla voir si l'auto était encore là, pas la moindre trace. Totalement décourager, morte de fatigue, mais pleine de volonté, une volonté créé par le fait qu'elle ne voulant pas perdre la face contre ses ex-meilleurs amies et étant encore en colère contre celle-ci, Ayame-Oki entreprit de faire le tour de la maison dans le faible espoire que la porte de derrière soit dévérouiller. Malheureusement se ne fut pas le cas. Oki du donc tout en priant le ciel qu'il ne pleuve pas, s'installer pour passé la nuit à la belle étoile.

Même pas cinq minutes plus tard, malgré le sol du patio terriblement inconfortable et la tempétature peu clémente, Oki tombas dans un sommeil profond. Où elle fit se qu'au début du moins elle crue être un rêve, un rêve qui resemblait drôlement à celui qu'elle avait fait à l'autre pater pyjama, si se n'était du fait qu'il qu'elle n'était plus la seul humaine à être présente, il y en avait d'autre, bien d'autre. Par des milliers, non loin de là, mais quand même énormément de monde et tous les uns après les autres prenait la main de l'ombre pour ensuite disparaître, l'une des première qu'oki vue faire fut Mizu, du moins Ayame suposa se cela devait-être elle, mais ne pouvait en être à cent pour cent sur vue le brouillar qui reignait et le peu de seconde quel avait eut pour analisé le visage de la jeune personne. Quand se fut rendu son tour Ayame-Oki eut tout juste le temps de percevoir Reita au loin avant de disparaître à son tour. Du moins c'est une façon de parler puisqu'elle se retrouva à se faire tirer à de là des rochés qui enrobait le paysage jusqu'à lors pour attérir à une tout autre place. Une place qu'elle n'avait jamais vue et c'est alors qu'elle déposait son premier pied sur le sol qu'elle comprit enfin se qu'il lui arrivait, que les paroles de l'ombre prire un sens dans son esprit. C'est alors qu'elle comprit qu'en prenant l'autre fois la main qui lui avait été tendu elle avait été condanné à vivre cette avanture, cette aventure qu'elle avait nullement souhaité vivre, qui ne faisait pas du tout partit de ses plans dans le future. Elle en resentit alors une grande colère, ainsi qu'une grande frustration, tout en ressentant un grand vide se former en elle. Ayant l'impression d'avoir perdu tout raison de vivre, comme si c'était fait arraché de force tout ses rêves, elle se retrouvait comme une coquille vide, sans but et sans volonté. Sa tête se mit alors à tourné et tout devient flou autour d'elle. Alors que son deuxième pied touchait le sol, c'est avec soulagement qu'Ayame-Oki perdit connaissant.

Plus tard, beaucoup plus tard, Oki se réveilla. Sa tête lui faisait un mal attroce, c'était comme si mille marteau piqueur étant intrain de lui impliger leur coup de bec en même temps. Incapable d'ouvrir les yeux, le jeune fille se mit à écouter les bruits qui l'entourait dans l'espoire d'attendre quelque chose qui lui était familié. Car là pour l'instant son esprit était comme vide. Elle ne se rappeler totalement et absolument de rien. La seul chose dont elle étati sûr c'était qu'elle était vide. Qu'un grand troue noir était en elle, que celui-ci la rongeait, lui enlevant toute volonté de mouvement, lui donnant d'une seul envie, retombé dans l'inconcience, elle ne voulait plus jamais avoir à penser, cela était bien trop souvrant. Oki n'avait vraiment pas le goût d'affronter son mal de tête, encore moins de réfléchir. De toute manière son esprit était rendu vide, tout y avait été effacé. Et c'était probablement mieux ainsi, comme cela il n'y aurait aucun souvenir pour lui provoquer encore plus de souffrance, aucun donner pouvant stimuler son cerveau à refonctionner. Elle ne se souvenait même pas de son nom. Elle avait complettement aucune idée de qui elle pouvait bien être. Elle avait le vague souvenir d'être une humaine, mais qu'est-ce qu'était une humaine? Oki n'en avait pas la moindre idée. Faut dire qu'elle ne savait pas plus se que pouvait bien est qu'une marteau piqueur, un oiseau peut-être. Mais qu'étaise qu'une oiseau? Ah oui! C'était une bibite volante, non pas une bibite, c'était vingt fois plus gros qu'une bibite un oiseau. Tranquillement, au fure et à mesure que son mal de tête baissait, ses connaissants lui revenait, elle se souvenait maintenant que un plus un cela égualait deux, qu'un phrase de base était composé d'un nom et d'un verbe. Que le complément de phrase pouvrai se déplacer. Que Kirsten Dunst était une très bonne et belle actrice. Que Orlando Bloom avait joué dans le seigneur des aneaux. Que le film le seigneur des aneaux était l'un des meilleurs films jamais réalisé. Que l'hivers il faisait un froid de canard et que l'été il faisait une chaleur d'enfer... Mais, elle avait toujours aucune idée de qui elle pouvait bien être, heureusement. Parcontre, à force de penser, Ayame avait bien du innévitablement reprendre intéret à se qui l'entourait. Du moins elle était curieuse de savoir où elle pouvait bien être, c'est pourquoi, finalement, après un effort sur humain, elle réussit à entrouvrir les yeux, pour les refermer aussi tôt, aveuglé par un trop plein de lumière. En attendant d'être à nouveau capable de faire le moindre mouvement et que se mal de tête sesse définitivement, permettant ainsi à la jeune fille d'avoir les idées plus claire et qui sait, le vide en elle disparaitrait peut-être en même temps. Oki se mit donc à chercher avec énergie et détermination qui elle pouvait bien être, après tout surement à cause de se trouble de mémoir qu'elle ressentait se vide en elle, non? Finalement, elle réussit à se rappeler d'un nom. Soma, Ayame-Oki Soma. Oui c'était bien cela, c'était son nom. Il lui restait à trouver le reste. Elle se rappela alors du rêve qui c'était retrouvé à être la réalité et elle pu enfin comprendre où elle était, sans pour au tant avoir la moindre idée de qui elle pouvait bien être.

Alors qu'elle cherchait toujours avec acharnement une réponse dans son esprit en compote qui allait lent comme un escargot et en plus était totalement embrouiller. Deux autres nom lui vienrent à l'esprit, Reita et Mizu. Avec ses noms une image lui vient. C'était l'avant dernière image qu'elles avait eux de ses deux meilleurs amies. Reita qui la fusillait du regard, avec à ses côtés Mizu qui tout en restant un peu en retrait suportait du regard, l'opignion de Reita. Alors, une grande colère s'empara d'Ayame-Oki, ou plus tôt le souvenir d'une grande colère, ainsi qu'énormément de rencune envers ses deux jeunes filles là et elle eux la conviction que qui qu'elles soient Reita et Mizu avaient été ses pirent ennemis, que tout ses malheures, quelqu'ils soient, lui était arrivé dans sa vie et sur tout ses derniers temps était arriver à cause d'elles. C'était aussi à cause de ses filles qu'elle avait un si grand troue dans l'âme. Oui, Ayame était sûr et certaine de cela. Une haine immense naqui alors en Oki, un haine totale et absolue pour ses deux filles qui lui avaient gaché la vie. De plus, alors que cette haine prennait vie en elle, deux autres images s'imposèrent dans son esprit, celle de Mizu qui prend la main de l'ombre, ainsi que celle de Reita qui attend au milieu de la brume de pouvoir elle aussi prendre la main de l'ombre.

*Elles sont ici. Ses minables m'ont suivie. Et bien, je vais les retrouvé et leur règler leur compte. Fois d'Ayame-Oki Soma, cela est mon nouveau but dans la vie.*

Convaincu que pour retrouver là paix, il fallait qu'elle élimine ou au moins règle leur compte à ses deux filles dont elle ne gardait le souvenir qu'une image. Déterminer à les retrouver le plus vite possible. Mue par cette idée, y ayant retrouvé une raison de vivre. Ayame-Oki sentit le vide en dedans d'elle devenir moins douleureux et eut enfin la force d'ouvrire grand les yeux, de se lever et d'affronter son destin, ainsi que sa nouvelle vie.

autre : Et bien... dsl pour avoir envoyer ma fiche en quatre morceaux, c'est juste que cela ne voulait pas rentrer autrement... C'était plus long que le maximum autorisé et j'avais drôlement pas le goût de tout réécrire XD

En répartissant un peu mieux le contenu... je suis sur que tu aurait pu faire moins de méssages

mais avec une aussi belle fiche, je suis sur que Morphée ne t'en voudras pas !!

non effectivement, je la lit de suite et je te dit quel est ton gardien... et je t'envoie le MP de commencement!