En route vers le château... -_-

Stephen était sortit du cimetière depuis un bon moment maintenant et il voyageait maintenant dans cet horrible endroit crasseux. Cela ne l'enchantait pas du tout. Jusqu'à maintenant, il détestait tout de l'endroit dans lequel il était atterit. Les indications de l'homme au cimetière n'aidaient pas non plus, elles était trop vagues! Cet homme pouvait se compter chanceux d'être encore en vie...

Stephen marchait dans une direction que lui-même ne connaissait pas. Tout ce qui lui importait, c'était de sortir de ce maudit marais qui sent mauvais.

*Non mais vraiment je comprends rien à cette histoire de dingue!*

Messages : 4 Date d'inscription : 24/11/2007

Cela faisait un moment qu'elle le suivait. Il était entré dans les marais, après avoir quiter le cimetière. Était-ce l'un des salopard qui était aux pieds du maitre des peurs? L'avait il envoyer a chercher!? Elle souhaitait que ce ne fut pas le cas! Sinon... De loin, contre le vent, elle marchait au même rythme que l'homme. Un regard posé sur lui. Il fallais qu'elle sache ce qu'il était vraiment. Elle avait entendu parler des rêveurs, il y en avait de nouveau.... était-il l'un d'eux... elle changea d'optique et sourit ironiquement. Il était bien un rêveur... il avait le bracelet.

Alors que l'homme au chapeau marchait dans les marais, avec une grande aisance, l'évadé se retrouva derrière lui en un éclair. Une lame posé sur la gorge de l'inconu, a la même auteur que celui-ci, elle lui dit dans l'oreille...

-Tu bouge, tu meure. Qui t'envois ici? Dans quel but?

sa voix un chuchotement a peine audible, elle ne faisait pas de bruit. Ellle prit son autre poignard et l'apliqua a la base du dos de l'homme, là ou le rein se trouvait. Une lame entré a cette partie, un humain tombais comme une pierre, inconscient... puis une mort lente s'attaquait a lui... parce que la lame était enduite d'un poison somnifère... donc un bleser dans les pommes ne pouvait pas pansé une plaie...

Messages : 23 Date d'inscription : 24/11/2007

L'étrangé, un peu plus loin des deux autres, quelques mêtres plus loin, vagabondait tout simplement en pataugeant dans les marais. Il avait les bottes remplit de ce liquide brunâtre dont le marais était remplit, mais cela ne le dérangeait pas du tout, il avait l'habitude. Après tout il voyageait souvent. Malgré sa mi-surdité, l'homme entendit les pas d'un homme qui pataugeait aussi dans les marais. Un peu curieux de savoir qui pouvait bien se promener dans ce coin humide, l'étrangé décida d'aller voir qui était là. Puis il arriva face à l'homme en question. Mais il vit en facheuse position, couteau à la gorge. L'étrangé approcha tranquillement, mais resta à une bonne distance, environ cinq mètre. Puis il remarqua que la personne qui tenait le couteau, c'était une vieille connaissance, l'évadé. L'étrangé ne paru pas surprit, il l'était un peu, mais ça ne se voyait pas. Enfin après quelques secondes, le temps de comprendre ce qui se passait, puis il se mit à parlé.

-Houplim, Je remarque que tu t'attaques encore à un innonçant sans aucune raison voyante !

L'étrangé ne semblait ni heureux, ni malheureux, mais simplement calme. Malgré la gravité de la situation, du moins pour Stephan, L'attaché restait stoîque ne voyant aucun dangé, il connaissait bien a paranoya de l'évadé. Si jamais Stephan faisait une conerie et il se faisait tué, et bien l'étrangé se diras qu'il aura causé sa propre mort. Enfin après ses quelques secondes de réflection, l'étrangé ajouta quelques mots.

-Voyament, il ne t'as rien fait, tu devrais le laisser tranquile

L'étrangé exprimait son point de vue sous forme de simple suggestion avec une voix plutôt calme. Aucune menace. aucune obligation, l'étrangé ne voyait pas l'intérêt de se mettre à dos l'évadé. Enfin, il restait là debout, attendant la suite des choses.

Il n'avait tout simplement pas remarqué la femme derrière lui. La conséquence de cette grave erreur, elle était à présent dans son dos et elle appuyais un poignard sur sa gorge. N'importe qui aurait paniqué à ce moment, mais Stephen était un "habitué" dans ce genre de situation. La femme lui dit que s'il faisait un seul mouvement, il était mort et elle lui demanda qui l'envoyait ici et dans quel but. Question stupide du point de vue de Stephen parce que premièrement, lui-même ne le savait pas, ou du moins, il ne le comprennait pas encore et deuxièmement... Il n'avait pas le droit de bouger alors pas question d'ouvrir la bouche! -_-'' Non parce qu'il a peur, mais parce que lui aussi il a envie de jouer. Donc Stephen ne répondit pas aux question de la femme qui le menaçait et son visage resta complètement immobile.

Peu après, il apperçut un homme plus loin qui semblait regarder la scène. Cet homme s'avança vers Stephen et la femme qui le tenait captif. L'homme les observa un moment avant de réagir. Il avait une étrange façon de parler. Il semblait réprimender la femme pour avoir attaqué une personne innocente. Stephen étoufa un rire.

*Si j'aurais mes armes, mes mains seraient déjà couvertes de son misérable sang...*

L'homme conseilla alors à la femme de laisser Stephen tranquille puisqu'il ne lui avait rien fait.

*Rectification, je ne lui ai encore rien fait...*

Il fixa l'homme dans le blanc des yeux et attendit la suite des événements.

Messages : 4 Date d'inscription : 24/11/2007

L’homme ne répondait pas était-il si bête que ce qu’il montrait de l’extérieur. Elle entendit un bruit, déplaisant à ses oreilles. Comme tout bruit humain... Quelque chose approchais… quelqu’un en fait. C’était une vieille connaissance, quelqu’un qui ne lui faisait ni chaud ni froid, mais que comme toute les autres elle n’avait cessé d’éviter pour qu’on ne la retrouva point. Au moins, celui ci avait eut une bonne idée, il était resté au loin, ne lui donnant pas une inutile raison de tuer ce qu’il appelait un « innocent ». Encore dans sa langue étrange, il la salua. Elle ne remua point. Attendant son heure. Il la méprenait encore une fois, personne ne la comprenait elle… enfin…

-Si tu ne vois pas la raison, rien ne dit que la raison n’est pas, L’étranger…

Il n’affichait pas d’émotion, mais Elle ne baissait pas sa garde. Un danger restait un danger. Au moins, il ne lui ajoutait pas du stress…

-Rien, « Voyament », tu ne comprends… D’ici tu devrais t’en aller… ou du moins, le silence garder…

l’imbécile a sa merci n’avait toujours pas dit un mot. Une pression de lame, sur la gorge plus forte. Il voulait prendre ses mots au pied de la lettre? Il voulait jouer avec les mots? Bien alors elle lui rendrait la pareille à sa manière… A cause de la pression, Il put sentir une douleur et un peu de sang commencer a couler. Sous le tissu qui couvrait ses lèvres, elle sourit de manière mauvaise.

-Ne pas bouger, j’ai dit, mais des tes lèvres je n’ai rien à craindre. Alors parler, tu peut… tes secret livre moi, ô si imbécile rêveur…

Messages : 23 Date d'inscription : 24/11/2007

L'étrangé, dans sa grande patiance habituel, observait les deux personne se trouvant devant lui. Il les regardait attentivement, comme pour les analysé du regard. L'évadé devait surement être habituer à se genre de regard que l'étangé faisait souvent, mais pour la plupart des gens, c'était intriguant. Puis lorsque l'attaché apperçu le rire éttoufé de Stephan, il fronça les sourcils. Quelques instants plus tard, il coupa le contact visuel qu'il avait avec l'homme pour fixé l'évadé. Elle semblait plutôt indiférente à la présence de l'étrangé. Mais malgré tout, elle lui répondit. Ce dernier écouta la demoiselle avec attention et se mit à sourire sans raison. Puis spontanément, il répondit.

- La rasonne, je ne la voit pas, doc ma coclusio est que la rasonne de tes actios n'éxiste pas. érreur put-être ?

L'étrangé parlait lentement, il semblait avoir un peu de difficulté avec certains mots. Mais il s'en sortait plutôt bien. Il faisait de gros éffort pour parler la langue du coin. Enfin il écouta la suite des paroles de l'évadé et il fut plutôt surprit. Cette fois il réfléchit quelques instants. Pendant ce tmeps il entendit les paroles que la femme adressait à l'autre homme. Mais l'étrangé n'y portait pas attention. Il se contenta de répondre à se que lui avait dit l'autre attaché.

-Muh... muh... Je ne me mêleras pas de ça, OK. Mas J'ai envie de... ni me tare...ni de partir

L'étrangé souriait toujours devant l'évadé. Ce n'était pas un sourire joyeux, ni heureux. Ce n'était pas un sourire sadique, ni ironique. Il était simplement, unique, impossible à défénir, mais chose sûr, il était bizzare. L'étrangé regarda autour de lui et trouva un arbre juste à coté de l'évadé, le genre d'arbre, plutôt simple qui pousse dans les marais. Puis il grimpa à l'arbre et observa simplement les deux autres en bas. Mais après seulement trois secondes, il redéssendit de l'arbre et se replaça là ou il était.

---

[HJ : J'ai trouver une logique illogique au langage étrange de l'étrangé Very Happy

]

Stephen trouvait déjà le parler de l'homme grotesque, celui de la femme n'était pas impeccable non plus, quoi que moins insupportable que l'autre, mais malheureusement, c'est elle qui tien le couteau. Le petit jeu que Stephen avait eu l'intention de jouer ne dura pas bien longtemps, elle n'avait même pas été ne serait-ce qu'un peu agressive. Mais au moins, il avait uen des chose qu'il voulait, c'est à dire, la forcer à être plus "précise". Un détail l'avait cependant accroché, elle l'avait appelé "rêveur".

"Rêveur? Mais de quoi tu parles?", demanda-t-il sur un ton neutre.

Suite à une courte pause, il répondit à la question qu'elle avait posé plus tôt.

"Qu'est-ce que je fais ici? J'aimerais bien le savoir figure-toi! Il y a l'autre taré au cimetière qui m'a parlé d'une histoire de liens que je dois délier... N'importe quoi..."

On pouvait très bien constater son agacement sur les traits de son visage. Il en avait déjà marre de toute cette histoire, tout ce qu'il voulait, c'était de trouver le responsable de tout ça et de lui mettre un bon coup de poing à la figure s'il décidait d'être gentil, sinon il le tuerait.

L'homme c.était à nouveau adressé à la femme. Sa façon de parler était vraiment, mais vraiment ridicule... Stephen ne se gêna pas pour lui faire remarquer d'ailleurs.

"Non mais où t'as appris à parler toi?", demanda-t-il sur un ton plutôt arrogant.

Il se contrefichait d'avoir un poignard à la gorge alors il disait tout ce qu'il lui passait par la tête, ou presque.

Messages : 4 Date d'inscription : 24/11/2007

L’évadée, peu patiente, attendis que l’étranger aie fini de parler.… Il souriait come un idiot, pour une raison que seul lui semblais comprendre. Il disait encore des ineptie… qu’il ne voyais pas la raison, qu’il n’y avait donc pas de raison…

-Une erreur, pour l’être, sa l’est. Ton esprit ouvre pour une meilleure compréhension…

Au moins, il ne s’en mêlerais pas. Point positif… elle raffermit sa prise sur le poignard et glissa a nouveau la lame sous la gorge de l’homme. Alors que l’étranger marchait pour monter puis descendre d’un arbre… il n’avait vraiment jamais eut la logique du coin, il ne fallait pas lui en vouloir…

-Rêveur tu es, de le nier impossible, homme de peu de foi. Parle, dit vraiment qui t’envois, qui ton maitre est et ce que savoir tu veux, tu l’aura… Ce que tu dit là, je ne le crois pas. Les liens tu dois bel et bien délier, mais au cimetière l’homme n’est pas taré….

Elle ne pouvait voir l’expression de l’homme qui avait son poignard a la gorge, mais elle commençais a trouver cet homme comme une nuisance, non pas dangereuse, mais bien inoffensive. Il se trompait, IL était taré…. Vu ce qu’il lui avait dit..

Elle agit alors de manière rapide, le poignard a la gorge retourna dans son Foureau, l’autre a la taille aussi alors qu’elle lui envoyait son genoux dans le bas du dos pour le pousser vers l’avant.

-Par la peur qui te fige, l’espoir qui s’évade, le moment qui disparaît, Toi ô innocent craint la peur qui fond sur toi! Immobilisation!, troisième formule de la peur!

(Voici les effet mon cher Stephen que tu va subir, tu a une crainte sourde qui s’attaque a toi, tu a de la difficulté a te concentré et aucun de tes mouvements ne répondent a tes directive, tu est littéralement immobilisé, tu peut encore parler, respiré et cligner des yeux, mais tu est figé!)

-Tu parle, mais jamais tu ne réfléchis, Apprend. Sa parole diffère, mais son intelligence n’est pas moindre. Si ainsi il parle, c’est parce que, capable de réfléchir avant, il ne parle jamais sans le faire… ainsi, Il en est de comprendre, qu’à toi!

Messages : 23 Date d'inscription : 24/11/2007

L'étrangé venait tout juste de redécendre de l'arbre duquel il était monté il y a de ça quelques instants. Il était maintenant debout, un peu penché vers ce même arbre. Il resta silencieux un moment, préférant écouter les paroles de Stephen, s'adressant à l'évadé. L'étrangé trouvait que cet homme était bien peu intéligent dans ses agissements et ses dires. Il commençait à mieux comprendre pourquoi l'évadé avait réagie si violamment. Puis parmis les déblatérations vocales de l'homme, une s'adressait surement à l'attaché. Alors il sourit simplement et répondit.

-Je ne viant pas d'ici, alors j'ai quelques ennus avec certanne pronociation, mais je va faire des éfforts !

L'étranger paressait sincère dans ses dires et dans son esxpréssions faciales, mais en réalité il se fichait un peu de l'opinion de cet ignare sur sa façon de parlé. L'étrangé écouta ensuite les dires de l'évadé et cela l'amusa tout autant. Il s'approcha pour bien participer à la discution.

-mon esprit n'est pas overt, parce qu'il n'est pas du mode physique. Par cotre, si on pra la sinificatio que tu volais surema abordé, mon esprit est plus overt que su des gens ignares ou encore de su qui s'en font por un rian. Tu me conna bian, j'ai ma faço de pensé unique, comme ma faço de parloyé

L'homme resta silencieux quelques secondes, le temps de reprendre son souffle. Puis il repensa aux paroles qu'il venait tout juste de dire. Spontanément, il se tapa les deux coudes ensembles avec force, tout en levant les yeux vers le ciel d'un air découragé, puis il reprit paroles.

-désolé.... vos dites "parler" et non "parloyé" ici... je l'oublie souvent !!

L'attaché se frotta ensuite les coudes ensemble quelques secondes et reprit une position relativement normal. L'étrangé resta silencieux quelques instants, écoutant les paroles dites par l'autre attaché. L'étrangé fut un peu surprit de voir l'évadé utilisé une formule contre un simple rêveur. Mais cela ne choqua pas l'étrangé, cela ne le dérangea pas non plus. Par contre, il ne pouvait pas passer cela sous silence, alors il se remit à parler pour adoucir l'ambiance qui commençait à se refroidir tranquilement.

-hum.... je sais bien qu'il est arrogant et ignare... mais tu n'avait pas besoin de faire ça, il était déja à ta merci !!

L'étrangé décida par lui même qu'il avait assez parlé pour le moment, alors il se dit qu'il devrait rester silencieux un moment pour laisser réagir l'évadé et l'autre homme aux différents propos des dires de l'étrangé. Mais malgré tout, il faisait bouger son regard entre le ciel, l'évadé, le couteau et l'arbre.

(Dis, c'est normal que l'Étranger ait prononcé une phrase convenablement ou c'est toi qui a oublié de la déformer?XD)

Stephen était toujours debout devant la femme qui vennait de resserrer sa poigne sur le couteau qu'elle maintenait toujours sur sa gorge. L'homme, suite à la remarque de Stephen, s'empressa de répliquer qu'il n'était pas d'ici et que c'était pour ça qu'il avait du mal avec les prononciations. N'importe qui aurait comprit ce que cet homme voulait dire, mais malheureusement, Stephen n'était pas n'importe qui.

"Bah moi aussi je suis pas d'ici je te signale... ¬.¬", se contenta-t-il de répliquer.

Ensuite l'Évadé prit la parole. Elle disait à Stephen qu'il ne pouvait pas nier le fait qu'il était un rêveur. Il ne le niait pas, il ne comprennait tout simplement pas! L'homme du cimetière ne lui avait pas parlé de ce détail. Elle disait également ne pas croire ce qu'il lui avait dit, mais elle lui avait confirmé le fait qu'il devait délier les lien... Bref, ça ne l'avançait pas du tout! Elle spécifia que l'homme du cimetière n'était pas un tarré et elle lui demanda qui l'envoyait.

Stephen n'avait pas eu le temps de répondre, car tout de suite après avoir dit cela, le femme retire la lame de la gorge de Stephen et elle lui donna un coup de genoux dans le bas du dos. Ne s'attendant pas à un coup de ce genre, Stephen tomba à genoux, prit par surprise. La femme avait recommencé à parler, mais Stephen ne l'écoutait plus. Il s'était retourné et s'aprêtait à lui bondir dessus.

"Espèce de..."

Il ne finit jamais sa phrase. Au même moment qu'il commença son mouvement pour s'élancer sur la femme, une étrange sensation parcoura son corps entier. Ses membres ne répondaient plus à ses ordres et il avait du mal à se concentrer. La crainte commençait à s'emparer de lui. Comme il était en mouvement au moment où il s'est retrouvé figé, il tomba par terre.

"Merde c'est quoi ce délire?? Qu'est-ce qui m'arrive??", s'exclama-t-il.

La femme recommença à parler. Elle parlait d'aprendre à penser avant de parler ou d'un truc du genre. C'est ses dernières paroles qu'il ne comprit absolument pas.(Et c'est pareil pour le joueur... X__X)

"Heu... J'ai pas compris la fin là..."

Était-ce dû au fait qu'il ne pouvait plus se concentrer, ou bien c'est parce qu'il ne pouvait tout simplement pas comprendre ce genre de chose?

Messages : 4 Date d'inscription : 24/11/2007

-Déjà assez, Tu en fait pour ce rêveur… pour ces gens là, tout le monde en fait trop. Ils ont espoir, Surtout, qu’on les aide. Comme eux Est-tu? Être de son coté Veut tu afin que secours il te porte? Oublie cela. Eh bien, jamais potable, il ne sera, comme rêveur.

Elle ignora les réponses à propos de tout ce qu’il avait dit plus tôt. Elle se fichait qu’il passe encore une excuse sur le fait qu’il était d’ailleurs. Il n’avait juste a ne pas avoir traversé le miroir des dimension jadis. Sa curiosité l’avait perdu, il était trop tard pour revenir en arrière. Il fit encore cet étrange geste qu’elle avait réussi a inerpretté a la longue comme une claque sur le front. Il se reprit, mais elle n’écouta pas vraiment ses dires. Elle se contrefichait qu’il se reprenne, c’était du temps perdu! On ne parlais qu’une fois, c’était stupide de répetter.

Il éleva a nouveau la voix, pour cette fois, elle y portât attention. Et sourit de manière mauvaise sous le tissu qui cachait ses lèvres.

-Si arrogant et ignare il est, a cause de sa stupidité il est ainsi attacher ce n’est pas. Mais pour réfléchir sur ses paroles il l’est.

Elle se tourna finalement face au rêveur qu’elle avait jusqu’alors totalement ignoré.

d’ici, tu n’est pas. Cela, nous le savons tous. De plus loin vient cet homme, alors encore plus, garde ta bouche close a CE propos.

Elle se pencha a la hauteur du rêveur et baissa doucement le tissu sur ses lèvres pour lui parler a l’oreille.

Espèce de …? Que dire allai-tu? Ce délire, que tu vit, Que t’arrive ce qui?? Un mot, Immobilisation… un autre, Peur…

Elle tapotta la tête couverte du chapeau de l’homme et s’éloigna un peu en s’asseyant sur le sol devant lui.

de comprendre Rien ne te sert, Simplement, apprend!

Elle regarda au ciel, inquiète, un bruit venais de là haut. Elle lanca un regard a l’étranger, lui aussi devait les avoir sentit! Les mangeur d’âme… les dévoreur de rêveur… ces monstre que chacun conaissait sous le nom de cauchemard…

-Chanceux tu est, de ta facheuse posture je doit te sortir, car bien que te tuer je n’aie pas le droit, t’aidé est mon choix… les rêveurs des cauchemard sont les proie, prend garde…

Elle se relève, s’éloinge et replace son tissu sur ses lèvres, elle dit alors la contre formule…

-Par la peur qui te fige, l’espoir qui s’évade, le moment qui disparaît, Toi ô innocent craint la peur qui fond sur toi! Mais de l’immobilisation vient le mouvement et du mouvement la crainte s’écoule, Mobilisation! Troisième contre formule de la peur!

[dfigé, tu n'a plus peur, tu peut bouger et faire ce qui te plais, mais tu ne vous pas encore les "cauchemard dont elle te parle, ils sont au dessus de la cime des arbres maigrelet]

Messages : 23 Date d'inscription : 24/11/2007

L'étrangé, redevenu calme et silencieux, observait la scène d'un oeil attentif. L'attaché s'attendait à une réponse de la part de Stephen à propos du commentaire passé un peu plus tôt par l'étrangé. Alors l'étrangé s'approcha un peu et écouta ce que disait l'homme en mauvaise posture. Puis l'étrangé eu un sourire, mais ne répondit pas. Puis l'étrangé fut un peu surprit de voir l'vadé libéré son otage comme ça, sans raison. L'étrangé regardait Stephen qui sauta en direction de la femme qui venait de le libérer. L'étrangé parla à voix basse, s'adressant à lui même.

-povre fo !!

Comme l'étrangé l'avait prévu, il se passa quelque chose. Par contre il ne pensait pas que l'homme allait figé, puis s'écroulé par terre. L'étrangé n'eut, malgré tout, aucune réaction. Il se contenta d'observer le corp de l'homme qui se trouvait maintenant sur le sol. L'étrangé avait envie de s'amusé un peu, alors il déclara tout simplement avec un air iornique.

-la fin du mode

Un peu plus tôt, avant que l'homme s'écroule par terre, L'étrangé eu la sa réponse de la part de l'évadé. Cette dernière semblait un peu agacé par la présence de l'étrangé. Enfin, l'étrangé écouta chaque paroles de la femme, mais restait silencieux, encore une fois. Mais il entendit encore de nouveaux dires de la femme qui s'adressait à lui. Alors il ignora tout simplement ce qu'elle venait de dire, pour simplement répondre à ses premières paroles.

-muh.. je ne su pas de so coté, ni de to coté. Je n'ai ria fa por le dé... muh.... défendre, tu pu lui fare ce que tu vu, sauf bia sûre les choses que tu ne pu pas fare !! Je su... spectatEUr uniquemENt

Par la suite, l'homme venu de loin se rendit compte que plus personne ne lui accordait d'attention. L'évadé parlait à Stephen, elle lui disait beeaucoup de choses. Mais l'étrangé ne s'en préoccupait pas vraiment, il avait la tête ailleurs. Il ressentait une présense peu amicale s'approcher. Surement que l'évadé s'en renderait compte si elle accordait moins d'attention à l'homme par terre. Par contre, quelques secondes plus tard, l'étrangé vi l'autre attaché levé les yeux vers le ciel et se touner vers l'étrangé. Ce dernier lui fit un hochement de tête positif en signe qu'il les avaient sentit aussi... les mangeurs de rêveurs. Mais malgré tout, il dit :

-oui... ils so la !!

S'il y a une chose utile que l'étrangé avait apprit depuis qu'il était ici, c'était bien le hochement de tête pour appruuver quelques choses. Car d'ou il venait, le hochement de tête était un signe de provocation pour un duel à mort. Enfin l'étrangé ne semblait pas énervé par les mangeurs de rêves. Il savait bien que ces derniers ne s'en prendrait pas à lui, le reste, il s'en fichait un peu. Par contre il s'approcha malgré tout des deux autres, car si l'évadé voulait aidé l'autre homme, l'étrangé se dit qu'il pourrait faire pareil, juste pour se désennuyé un peu. Mais pour le moment, il ne fit rien, attendant simplement de voir comment l'évadé allait-elle réagir elle.